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Sigurd I est un empereur de Rivellon. Il épousa une femme qui lui donna deux fils, Faran le Décharné et Karthan le Décapiteur ainsi qu'une fille Sybille la Silencieuse. Il eut une liaison avec Aurora qui lui donna un fils, le Commandant dragon.

Apparence et caractère[]

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Sigurd dans Divinity[]

Avant Divinity: Dragon Commander[]

Depuis l'aube des temps, la belle Rivellon a été le théâtre de rivalités, de querelles et de guerres. Des humains hautains, des lézards élitistes, des nains obstinés, des elfes instables, des diablotins fous, des morts-vivants bigots et même des sorciers agités : tout ce petit monde faisait preuve d'une constance extraordinaire pour s'adonner à la violence. La paix... Le mot en lui-même n'avait guère de sens. Il était abstrait, jusqu'à ce qu'au terme d'une ère de ténèbres, trois hommes décident qu'ils en avaient assez. Maxos était l'un d'eux ; les autres étaient Sigurd, et un inventeur excentrique que tout le monde, même eux, appelait l'Architecte. Ils savaient que la guerre durerait éternellement, à moins qu'un roi enfin se lève, conquière toutes les factions rivales et unisse les différentes races combattantes sous la bannière d'un seul empire, qui s'étendrait au monde entier.[2]

C'est l'Architecte qui trouva une réponse à la question de savoir comment ils allaient bien pouvoir mettre en œuvre un tel projet. Il avait la capacité de fournir à Sigurd - qui était déjà un seigneur de guerre endurci - des machines de guerre comme le monde n'en avait jamais vues. En allant au combat équipés d'armes sophistiquées, ils deviendraient irrésistibles, ils forceraient leur adversaires à se rendre pour éviter le massacre. D'où l'Architecte tenait-il ses étranges connaissances ? Il ne l'a jamais dit. Mais, Sigurd et Maxos ne se préoccupèrent peu de ses méthodes énigmatiques. Le principal était que leur plans fonctionnaient à merveille, et en quelques années Rivellon fut à eux. Ils avaient bâti un empire et Sigurd devint son premier souverain. Pendant quelques décennies, la paix eut enfin une signification. Ce fut un éclair, trop vite englouti par la trame ténébreuse du temps.[2]

Un jour fatidique, une femme à la beauté sans pareille se présenta à la cour. Au premier regard, pas un homme dans l'assistance qui ne vibra dans l'espoir d'obtenir son attention, même sous la forme d'une caresse. Sigurd, bien que marié, lui fit la cour, tout comme l'Architecte. Les deux amis commencèrent à se jalouser, et quand Sigurd réussit finalement à gagner ses faveurs, l'Architecte quitta le palais avec tant de haine dans les yeux que Maxos y vit quelque chose de diabolique. Leur liaison secrète dura toute une année, pendant laquelle Sigurd et la belle Aurora furent heureux ensemble. Elle mourut subitement, l'œuvre de l'Architecte. Sigurd l'ignorait. Le chagrin l'anéantit. Le puissant guerrier se mit à flétrir, et très vite, l'âme de son empire se mit à vaciller comme la flamme d'une bougie jusqu'à ce que ses propres enfants la soufflent et morcellent les terres qui auraient dû constituer son héritage.[3]


Apparitions[]

Notes et références[]

Notes[]


Références[]

  1. Divinity: Dragon Commander - Maxos : Personne au royaume de Rivellon, mis à part vous, Sigurd, l'Architecte et moi, ne sait combien la mort d'Aurora a affecté votre père. Pour la plupart des gens, il fut un grand héros, qui céda trop vite aux sirènes du plaisir, de la paresse et de l'alcool, ce qui l'éloigna de ses enfants et finit par déclencher la guerre. Ils se trompent, mais ils apprendront la vérité un jour. Soyez certain que lorsque notre conquête sera achevée et que la paix m'offrira un peu de temps libre, j'écrirai son histoire, ainsi que la vôtre. Tout le monde saura quelle tragédie il a vécue, et comment le fils qu'il avait eu de son aimée sauva un empire !
  2. 2,0 et 2,1 Divinity: Dragon Commander - Maxos : C'est une longue histoire, mon ami ; écoutez donc ! Depuis l'aube des temps, la belle Rivellon a été le théâtre de rivalités, de querelles et de guerres. Des humains hautains, des lézards élitistes, des nains obstinés, des elfes instables, des diablotins fous, des mort-vivants bigots et même des sorciers agités : tout ce petit monde faisait preuve d'une constance extraordinaire pour s'adonner à la violence. La paix… Le mot en lui-même n'avait guère de sens. Il était abstrait, jusqu'à ce qu'au terme d'une ère de ténèbres, trois hommes décident qu'ils en avaient assez. J'étais l'un d'eux ; les autres étaient Sigurd, votre père, et un inventeur excentrique que tout le monde, même nous, appelait l'Architecte. Nous savions que la guerre durerait éternellement, à moins qu'un roi enfin se lève, conquière toutes les factions rivales et unisse les différentes races combattantes sous la bannière d'un seul empire, qui s'étendrait au monde entier. Je crois que notre première pensée fut plus facile à dire qu'à faire. C'est l'Architecte qui a trouvé une réponse à la question de savoir comment nous allions bien pouvoir mettre en œuvre un tel projet. Il a dit qu'il avait la capacité de fournir à votre père - qui était déjà un seigneur de guerre endurci - des machines de guerre comme le monde n'en avait jamais vues. La solution, c'était la technologie. En allant au combat équipés d'armes sophistiquées, nous devenions irrésistibles, nous forcions nos adversaires à se rendre pour éviter le massacre. D'où l'Architecte tenait-il ses étranges connaissances ? Il ne l'a jamais dit. Mais en fait, Sigurd et moi nous nous préoccupions peu de ses méthodes énigmatiques. Le principal était que nos plans fonctionnaient à merveille, et en quelques années Rivellon fut à nous. Oui, nous l'avions fait. Nous avions bâti un empire et votre père devint son premier souverain, le seul jusqu'à présent. Pendant quelques décennies, la paix eut enfin une signification. Ce fut un éclair, trop vite englouti par la trame ténébreuse du temps.
  3. Divinity: Dragon Commander - Maxos : Je me suis longtemps posé cette question, et pourtant la réponse est aussi simple qu'évidente : la nature humaine. L'amour ; la jalousie ; la colère ; la peine. Toutes ces émotions ont été plus néfastes à l'équilibre de la paix qu'une centaine de milliers de machines de guerre. En fait, Sigurd, l'Architecte et moi étions restés de bons amis une fois notre quête achevée. Seulement, un jour fatidique, une femme à la beauté sans pareille se présenta à la cour. Au premier regard, pas un homme dans l'assistance qui ne vibra dans l'espoir d'obtenir son attention, même sous la forme d'une caresse. Votre père, bien que marié, lui fit la cour, tout comme l'Architecte. Pour ma part, j'avoue que j'aurais renoncé à tous les secrets de la magie pour gagner son amour, mais je savais que la convoitise ne mène qu'au malheur. Et cela advint, car mes deux amis commencèrent à se jalouser, et quand Sigurd réussit finalement à gagner ses faveurs, l'Architecte quitta le palais avec tant de haine dans les yeux que j'y vis quelque chose de diabolique. Leur liaison secrète dura toute une année, pendant laquelle votre père et la belle Aurora furent heureux ensemble. Elle mourut subitement, et il me fallut longtemps pour comprendre que c'était… l'œuvre de l'Architecte. Sigurd l'ignorait. Le chagrin l'anéantit. Le puissant guerrier se mit à flétrir, et très vite, l'âme de son empire se mit à vaciller comme la flamme d'une bougie jusqu'à ce que ses propres enfants la soufflent et morcellent les terres qui auraient dû constituer son héritage.
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